Accueil L’oulipien de l’année Chanson des rues
Rue Lecourbe

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Je me suis offert Rue Lecourbe,
étant môme, au Monopoly.
Un des joueurs, au regard fourbe,
en fut furax et malpoli.

Le malheureux était en tôle,
priant du hasard aboli,
qu’un coup de dé lui offre un double.

Il avait déjà Vaugirard
Saint-Honoré, Rue de Courcelles.
Pigalle et l’Avenue Mozart.
Ça m’aurait plu d’avoir icelles,

Mais il était insatiable.