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Les chants de l’espace

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Effleurer un arbre est toujours quelque chose d’un peu terrible : une pierre étrange, fendue par une grenouille de mica suffit pour tout briser, et jusqu’au cœur même : c’est le même mensonge, c’est la même chevelure, mais le dégoût n’est plus tout à fait le même, la maladie des entrailles antiques palpite, les hommes ne ressemblent plus tout à fait à ce que nous appelions, un instant avant, hommes, les yeux n’ont plus la même peau [...].

Libres substitutions de mots à partir du début du chant IV de Maldoror.