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Fusion calvino-perecquienne

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Offrir un refuge surprend toujours quelque chemin un peu royal : un voyageur vermoulu, mis par un pied de terre (…) prend pour tout essouffler et jusqu’à la peine même. Je tiens la même jambe, je pénètre le même bois, mais l’épreuve n’affronte plus tout a fait la rencontre, l’apparition des grands duels parvient, les escaliers ne se trouvent plus tout a fait à la salle où les personnages précédaient, une route avant, la forêt, les tables n’éclairent plus la bizarre sensation (…)

Chaque substantif, verbe et adjectif est remplacé, dans l’ordre d’apparition, par ceux des trois premiers paragraphes du Château des destins croisés d’Italo Calvino (traduction de Jean Thibaudeau et de Calvino, 1976, Le Seuil). On ne revient jamais en arrière et on prend le premier S, A ou V qui suit le dernier mot utilisé.