Accueil L’oulipienne de l’année Diomira, une ville invisible
Boustrophédon

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En partant de là et en allant trois jours vers le levant, l’homme se trouve
eznorb ne seutats sed ,tnegra’d selopuoc etnaxios ceva elliv enu, arimoiD à
de tous les dieux, des rues pavées d’étain, un théâtre en cristal, un coq en
sel ruegayov el, sétuaeb sec setuoT. ruot enu rus nitam euqahc etnahc iuq ro
connaît déjà pour les avoir vues aussi dans d’autres villes. Mais le propre
sruoj sel dnauq ,erbmetpes ed rios nu evirra y no’l is euq tse ic-ellec ed
raccourcissent et que les lampes multicolores s’allument toutes ensemble aux
, ! uoh : eirc emmef ed xiov enu essarret enu’d euq te ,seiretirf sed setrop
on en vient à envier ceux qui à l’heure présente pensent qu’ils ont déjà
.xuerueh àl-siof ettec été tno sli’uq te ellierap eérios enu ucév