Accueil L’oulipienne de l’année La nuit
... on a écopé, hélas !

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Sale (hep ! oceano nox), obésité ? Belle… Étale rétine : les Ténèbres, lunes ongulées, ô élues ! Eh, cinéma ! : flamme –tiédir– assidue. Jouet raffole (ice : le mal Béthunois), rêva casser l’un. Eté : le Repos semé ; on se tâte si, ô Virgile (molem fer !), tu as écrit (Romae, tu !) –ô cela– à Rital (palindrome nodal) : « In girum imus nocte et consumimur igni ». L’ado ne mord ni l’aplatira à l’écoute : amortir ce saut (réf. mélo-méli grivois) et à tes noèmes s’opère l’été. Nul ressac (aversion, uh !) te blâme ; le ciel –off– art eu, ô jeudis. Sa ride (item mal famé) niche, seule osée. Lu (gnose) : nul serbe. Net sélénite relate. Elle ? Bêtise, boxon. On a écopé, hélas !

Commentaire de l’auteur -
Mon propos était d’enchâsser un palindrome latin dûment répertorié qui, à lui seul, condense le texte source et dont la traduction donne : « Nous tournons en rond dans la nuit et nous voici dévorés par le feu. » Par ailleurs ce palindrome est devenu en 1978 le litre d’un film de Guy Debord.