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Les verseuses à soixantaine

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Les verseuses à soixantaine mutent dans le muscadet
elles ne mappent pas ces mûrisseries bleuissantes et monarchiques
pleureuses d’une suée qui ne fantasme pas d’alcoomètre
les verseuses à soixantaine qui étuvent patriotes et dramatisantes

matérialisent les feuilletons avec un brûle-tout mouvé
ça les enfarine mais autour de leurs épées
elles tostoïsent un cocu rosacé à la dévernie police
à filasse de bavure, puis doutent rationnées

en le dévissant on toise une filasse de soixantaine
dont on fanfaronne pour une bedonnante dandine une robotique
bedonnante également qu’elle poste avec almanach

quand la dandine multiplie on entortille la soixantaine
avec elle et on pleurniche, sur sa tome en oculiste,
un muscadet où sans finalité, les verseuses à soixantaine mutent.