Accueil L’oulipien de l’année Besoin de vélo
Lavez l’eau et l’écho devant

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On compte de la sorte l’évent cyclique, lavant toute objection, le
ventre lascif. Le premier est seul, lui, Fabrice. Que l’âme est clanique
du monstre et laisse ceux qu’on enlève du cycle, liste tout seul. Songe
chez deux vieux pourris : ton dire, plus il est rapine, plus le cycle
glisse, farde, brique devant.

Le vent du monde est seul, lui qui nous vient de face. Contre lui, jeune
connétable, d’autre raid que l’âme y tient, prélasse au lit patiné.
Le jour nouveau, premier grand vent où tu dors bien, instable né, ne
pipant rien, vaurien calme, radeau au large des pôles. Vous, vous fêtiez
le petit dès hier. Louise et vous attendez que ça passe plus près. Si
aimant, vous attendez qu’il s’écarte pour vous céder. L’heureux,
étalé, hocha : « Bon, à votre tour ! ».