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L’errance n’est pas ruine d’une clémence.

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L’errance n’est pas ruine d’une clémence.
Pour raviner son jean taille S-M, lester sa drisse des transformations opérant l’écho des bonbons X en soif de fesses, prix à fixer ? Fuir les affres et les peurs dans les vers d’Aznavour, forer les contours -cris durs- et les placer sur des poteaux, ils pèchent droit, sans toi ou moi, ô quels détours qu’il faut pour les amants réguliers !, exceptées les rations Love des vallées, tisser en rites les styles de foi d’échos en les combattant dans des traîneaux d’odes tristes, dans l’éponge on est pourris câlins, s’en filtrer l’ire de Moi, le coeur supra alité, l’humeur précise, plus de séants, s’en tenir en robe bleu filante sans blanc, embobiner ces échafauds pour enfarder ces faux-cils, métisser les frites pour les paliers à parer.
L’un m’en extrait braillant mépris, qui s’était délassé dans ses pagnes quand les lionnes osaient nues. Avec la cruauté des décampeurs pris de scission, le lent brûlot, la soude broie, dans les lierres désattelés on fêtait Morphée pour renaître, hélas ! prêter la rageuse courroie. Infâme mais tiède !