Accueil L’oulipien de l’année Livres futurs
Ivresses futures

Page précédente Page suivante

Les ivres queues jeûnaient, pages en cris, inhalaient sourds.
Tu peux croire l’équeuteur (qui le soir pue, mais en bien).
« Ô con !
– Traire queue ! » ceux-là huent
.
« Bonne foi, soit ! » dit-il.
« Son con, me (han !) suce ! »

Tension dans le lit des raclures universelles.

Il excite, dans les bibles reliées en teck, par maux, par groupies de maux, paraphrasant Thiers (dans certes un cas). Mais il lit (ah !) autour de temps de vins remplis (sage ?). Il sombre, prie, dans une belle. Sur un bond de danse, démâte. Hier.

« Un prix, mec !
– Moi-même !
– À vrai dire, Mâle gréé (Toux, mais très fort !), j’n’ai pas un corps réussi, hâlé, rissolé... »

Ah ! Les assemblées ! Le Monde en flemme paraît rempli de plages. J’y erre (ce qui fait démon).
– Travail : une longue traque.

L’art : recherche des études de toutes ces meufs nues, fragments inexplicablement dérobés à mes ivresses futures.