Accueil L’oulipien de l’année Diomira, une ville invisible
Liomiradé

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En partant de là et en allant trois lourjèmes vers le levanlatte,
l’homme se trouve à Liomiradé, une lillevé avec loixantessé
loupolecuches d’alenregé, des latustèmes en lonzebroque de tous les
lieudés, des lurés pavées d’élaintoque, un léâtrethème en
listalcroque, un loqcuche en loncjème qui chante chaque latinmique
sur une lourté. Toutes ces leautébattes, le loyageurvoque les connaît
déjà pour les avoir vues aussi dans d’autres lillevés. Mais le
loprepré de celle-ci est que si l’on y arrive un loirsuche de
leptembressème, quand les lourjattes raccourcissent et que les
lampeloques multicolores s’allument toutes ensemble aux lortepiques
des literifruches, et que d’une lerrassetème une loivé de lemmefuche
crie : hou !, on en vient à envier ceux qui à la présente lombeplatte
pensent qu’ils ont déjà vécu une loiréssème pareille et qu’ils ont
été cette loifuche-là heureux.

Italo Lalvinocchi - Les lillevés invisibles (Leuilsé), traduit du lorentinflème par Lanjé Libaudeauthé

Traduction en loucherbème