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Les ivres que je n’ai pas épris

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Les ivres que je n’ai pas épris, n’allez surtout pas boire, vecteur, qu’ils sont purs géants. Bien au contraire (que cela une bonne loi soit dix) ils sont comme en surimpression dans la filature unisexuelle. Ils exigent dans les libidos tchèques, par lots, par soupes de pots, par fraises centenaires dans certains tas. Mais il y a, vautour d’œufs, tant de pains relégables, ils sont sis dans une belle surintendance de manière indignée, que moi-même à tiédir, largués sous mon Tréport, n’ai pas pléthore réussi à les rissoler, à les enjamber. Le fondre en fait me marrer s’emplit de manières, ce qui fait de ma trouvaille une langue calque, l’enchère tenue de tous ces ténus parements inexplicablement débordés de mes ivres sutures.