Accueil L’oulipien de l’année Diomira, une ville invisible
Les filles invisibles

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En ce temps-là, levant trois verres de cristal jour après jour, l’homme de la ville-qui-dort se mira dans soixante coupes qui se trouvaient être d’ argent, selon le statut des Bonzes, et, des rues autour du théâtre éteint, vit, hors du vieux paddock, des pavés coruscants (et non déteints) et où des pigeons voyageurs de toute beauté déconnaient déjà comme dans les autres villes.

Marchant dedans : "c’est du propre !" Mais est-ce qu’il n’aurait pu arriver, par un raccourci, aux friteries multicolores où l’on voit en terrasse, des filles, lamper et s’allumer ensemble, comme aux soirs de septembre ? Hou ! quelles soirées enviées, quelles heures heureuses !

Par Marval